Voilà nous y sommes le Père Noël va bientôt passer,ce n'est plus qu'une question d'heures......en attendant son passage, an nou chanté nwel
Hugo dans les bulles de champagne
là, forcément la surprise passée , tout le monde rigole et Alix se rend compte que c'est le "vrai-faux père noël"car il a vu les élastiques de sa barbe, bien joué père noël!!!!!!!!!!!!!
Ce vendredi nous avons participé à un chanté nwel, tradition antillaise,où les gens se retrouvent autour d'un "scrubb", rhum à l'orange (voire plusieurs) de boudins créoles et "pâtés cochon"pour chanter des cantiques de noël
les vrais chanteurs!!!!!!! 
c'est parti, presque sans filet....... 
Ici "Nwel" est une fête importante chacun y va de sa déco (regardez bien vous verrez Marie,Joseph et le petit Jésus en feuilles de bananier)
et oui on décore les palmiers et les cocotiers
mais le père noël reste le même .........ouf!!!
La tradition veut qu' aux antilles on mange du cochon à noël "le fameux jambon de noël "il trouve sa place sur la table en début de repas ,il trône en maître parmi les patés de morue, de cochon ou autres bouchées de lambi et boudins antillais le tout arrosé de SHRUBB (rhum à l'orange)
INGREDIENTS
1 jambon 4 kg
1 oignon
3goussesd'ail
quelques cerises confites
750gr de sucre de canne pour le caramel (facultatif)
1 bouquet garni
500 gr de sucre roux en poudre
12 rondelles d'ananas
PREPARATION
Mettez le jambon à dessaler dans une grande bassine d' eau fraîche pendant 24 heures.
Préparez un court-bouillon non salé avec l' oignon , l' ail et le bouquet garni.Plongez y le jambon et comptez 5 heures de cuisson douce sans ébullition.Le court- bouillon ne doit pas dépasser les 75 degrés.
Le jambon est cuit, lorsque la "sonde" petit os se trouvant à côté du jambonneau, s'enlève facilement.
Retirez alors le jambon,enveloppez-le dans un torchon mouillé et laisez refroidir.Enlevez la couenne,saupoudrez de sucre.Pour le caraméliser,passer le rapidement sous le gril très rouge.Décorez le de tranches d'ananas et de cerises confites.
| "Pratique Antillo-Guyanaise, la Martinique comme la Guadeloupe ont gardé, à l’instar des campagnes françaises, une tradition dont l’origine remonte au Moyen Age, qui regroupe voisins, amis, parents, enfants et qui s’est perpétuée au cours des siècles :
Chants d’amour et d’espoir, célébrant la venue du Christ, ces cantiques sont entonnés en principe à partir du premier dimanche de l’Avent. On doit rappeler que dans le calendrier catholique, les trois semaines de l’Avent sont consacrées à la préparation des cérémonies préparant la naissance du Christ. | ||
| Aussi, autrefois, dans les cases les plus humbles, comme dans les plus belles maisons on se réunissait dès le coucher du soleil autour d’une table éclairée par une lampe à pétrole, un « lampion », une bougie ou sous la lumière crue d’une lampe électrique pour chanter en chœur ces cantiques.. | ||
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